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Immeubles de rapport
Arch. Henri Ragache - 1893/1894.
13-21 rue Ernest Renan.
Ces immeubles néo-haussmanniens sont issus d'un lotissement réalisé par l'une des agences les plus importantes de la Belle-Epoque (Ragache- Storets). Ils se distinguent par leurs bow-windows à armatures métalliques.
13-21 rue Ernest Renan.
Ces immeubles néo-haussmanniens sont issus d'un lotissement réalisé par l'une des agences les plus importantes de la Belle-Epoque (Ragache- Storets). Ils se distinguent par leurs bow-windows à armatures métalliques.


Église Saint-Léon
Arch. Émile Brunet - 1924/1934
1 place du Cardinal Amette.
Une structure en béton armé et ciment recouvert de briques polychromes au savant calepinage.
Une façade de style néo-roman et romano-byzantin à l’intérieur (prochaines publications), mais d’inspiration Art Déco.
1 place du Cardinal Amette.
Une structure en béton armé et ciment recouvert de briques polychromes au savant calepinage.
Une façade de style néo-roman et romano-byzantin à l’intérieur (prochaines publications), mais d’inspiration Art Déco.


Immeuble de rapport
Arch. Johannes Chollet & Jean-Baptiste Mathon 1928/30
5,7 rue Alasseur.
Un immeuble organisé autour d’une cour ouverte sur rue. Le langage architectural s’articule autour de la brique calepinée et le béton enduit. Il rappelle celui de l’École spéciale des travaux publics du boulevard Saint-Germain, construit par les mêmes architectes.
5,7 rue Alasseur.
Un immeuble organisé autour d’une cour ouverte sur rue. Le langage architectural s’articule autour de la brique calepinée et le béton enduit. Il rappelle celui de l’École spéciale des travaux publics du boulevard Saint-Germain, construit par les mêmes architectes.


Immeuble de Rapport
Arch. Charles-Louis et
Henry-Charles Delacroix - 1935
73 rue des Cévennes.
Une réalisation moderne sur une morphologie conventionnelle du plan de masse. Façade côté rue en brique rouge à joints horizontaux, elle est striée de longs balcons en ciment blanc, de bow-windows et verrières affleurantes en métal noir.
Henry-Charles Delacroix - 1935
73 rue des Cévennes.
Une réalisation moderne sur une morphologie conventionnelle du plan de masse. Façade côté rue en brique rouge à joints horizontaux, elle est striée de longs balcons en ciment blanc, de bow-windows et verrières affleurantes en métal noir.


Immeuble de logements
Arch. André Guerry - 1924
395-397 rue de Vaugirard.
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur
395-397 rue de Vaugirard.
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur


Immeubles de logements
3,7-9 rue Fourcade.
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur


Hôtel Moderniste
5 rue de Langeac.
Ancien hôtel Lutèce, construit dans les années folles par deux frères “bougnats” montés conquérir Paris. L’un s’installera dans le 18ème et l’autre ici près de la Porte de Versailles.
Ancien hôtel Lutèce, construit dans les années folles par deux frères “bougnats” montés conquérir Paris. L’un s’installera dans le 18ème et l’autre ici près de la Porte de Versailles.


Immeuble de logements
7 rue de Langeac.
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur.
Brique, bow-windows et céramique à l’honneur.


Immeuble de rapport
Arch. Léon-Joseph Madeline - 1936
131 rue de Vaugirard.
Dans le même esprit que la réalisation de celle de Maillard et Raguenet, rue de Varenne.
Cours ouverte sur rue et carreaux cassés.
Ossature en pan de fer et porte -à-faux en béton armé.
131 rue de Vaugirard.
Dans le même esprit que la réalisation de celle de Maillard et Raguenet, rue de Varenne.
Cours ouverte sur rue et carreaux cassés.
Ossature en pan de fer et porte -à-faux en béton armé.

Immeuble de rapport
Arch. Paul Auscher, 1914
112ter avenue de Suffren.
Bel édifice souvent associé au style Art nouveau, mais sa sobriété et sa rigueur préfigurent l’émergence de l’Art déco.
Il a retrouvé après rénovation sa façade avec sa décoration originale de couleur bleue.
112ter avenue de Suffren.
Bel édifice souvent associé au style Art nouveau, mais sa sobriété et sa rigueur préfigurent l’émergence de l’Art déco.
Il a retrouvé après rénovation sa façade avec sa décoration originale de couleur bleue.

Immeuble de logements
Arch. Louis Sarret, 1930
3 rue François Mouthon
Deux oriels cintrés animent une façade dont le calepinage signale la structure porteuse du béton.
Le peintre Joan Miró y séjourna de 1929 à 1932.
3 rue François Mouthon
Deux oriels cintrés animent une façade dont le calepinage signale la structure porteuse du béton.
Le peintre Joan Miró y séjourna de 1929 à 1932.

Le Grand Pavois
Arch. J.L. Fayeton & M. Herbert, 1968-1971
187-203 rue de Lourmel & 354-362 rue Lecourbe
L’un des plus grands ensembles immobiliers de Paris, deux bâtiments qui s’entrecroisent : l’un, elliptique, de quatre étages, l’autre, de seize étages, en forme de boomerang. La couleur claire des façades s’explique par l’usage de panneaux préfabriqués de Schokbéton à agrégats de quartz.
187-203 rue de Lourmel & 354-362 rue Lecourbe
L’un des plus grands ensembles immobiliers de Paris, deux bâtiments qui s’entrecroisent : l’un, elliptique, de quatre étages, l’autre, de seize étages, en forme de boomerang. La couleur claire des façades s’explique par l’usage de panneaux préfabriqués de Schokbéton à agrégats de quartz.

Poste de commande centralisé de la ligne 12 du métro & logements sociaux.
Arch. E. Saadi, 2012
43bis rue Desnouettes,
Audace volumétrique et colorimétrique.
À première vue, on peut penser que le concepteur a eu toutes les latitudes et la liberté pour réaliser cet édifice. On connaît tous les difficultés imposées par les POS et PLU qui se succèdent et modifient régulièrement les gabarits des parcelles constructible. Cette réalisation ne déroge pas à la règle!
- exigence d’un espace large de 10 mètres
- Accès à des parking souterrains
- Accès piétonnier à la petit ceinture (pour les nom connaisseurs, ancienne ligne de chemin de fer faisant le tour de Paris qui désormais désaffectée se transforme progressivement en parc urbain)
Résultat, il ne restait plus qu’un espace constructible réduit pour accueillir les fondations.
Et voici le résultat , une construction en porte-à-faux, des volumes en saillie d’un vert tranché qui habillent la colonne vertébrale de l’ensemble dotée d’une couverture en acier.
43bis rue Desnouettes,
Audace volumétrique et colorimétrique.
À première vue, on peut penser que le concepteur a eu toutes les latitudes et la liberté pour réaliser cet édifice. On connaît tous les difficultés imposées par les POS et PLU qui se succèdent et modifient régulièrement les gabarits des parcelles constructible. Cette réalisation ne déroge pas à la règle!
- exigence d’un espace large de 10 mètres
- Accès à des parking souterrains
- Accès piétonnier à la petit ceinture (pour les nom connaisseurs, ancienne ligne de chemin de fer faisant le tour de Paris qui désormais désaffectée se transforme progressivement en parc urbain)
Résultat, il ne restait plus qu’un espace constructible réduit pour accueillir les fondations.
Et voici le résultat , une construction en porte-à-faux, des volumes en saillie d’un vert tranché qui habillent la colonne vertébrale de l’ensemble dotée d’une couverture en acier.

Immeuble de rapport
Arch.A. Wagon, 1905
24 Place Étienne Pernet
Un exemple représentant l’une des expressions les plus abouties du style “Art nouveau“ parisien; le “style nouille”.
Des décors végétaux d’arabesques qui ornent chaque baie avec comme motifs principaux fleurs, légumes et fruits stylisés. Le pignon d’angle très imposant est coiffé d’un bulbe d’ardoise.
La porte d’entrée est quant à elle coiffée d’un arabesque dissymétrique et dotée de fers forgés; dans la pure tradition du style, avec l’esthétisme des lignes courbes.
Malgré cela, son organisation et sa structure sont totalement conventionnelles et les décors font simplement penser à une pâtisserie architecturale d’où la toiture serait en quelque sorte constituée d’îlots de crème chantilly ou de meringues.
24 Place Étienne Pernet
Un exemple représentant l’une des expressions les plus abouties du style “Art nouveau“ parisien; le “style nouille”.
Des décors végétaux d’arabesques qui ornent chaque baie avec comme motifs principaux fleurs, légumes et fruits stylisés. Le pignon d’angle très imposant est coiffé d’un bulbe d’ardoise.
La porte d’entrée est quant à elle coiffée d’un arabesque dissymétrique et dotée de fers forgés; dans la pure tradition du style, avec l’esthétisme des lignes courbes.
Malgré cela, son organisation et sa structure sont totalement conventionnelles et les décors font simplement penser à une pâtisserie architecturale d’où la toiture serait en quelque sorte constituée d’îlots de crème chantilly ou de meringues.

Immeuble de logements
Arch. Gabriel Ruprich-Robert, 1899
50 avenue de Ségur
Une réalisation emblématique de l’architecture parisienne de la fin du XIXᵉ siècle, témoin remarquable du style Art nouveau à Paris.
La façade en brique se distingue par l’élégance de ses motifs géométriques, enrichie de deux bas-reliefs représentant tiges, feuillages et fleurs délicatement sculptés dans la pierre. À l’angle de l’immeuble, le bow-window, habillé de carreaux de grès émaillé réalisés par le céramiste Pierre-Alexandre Bigot, constitue sans doute l’élément le plus spectaculaire de l’édifice.
L’entrée principale prolonge cette inspiration naturaliste : une porte en fer forgé ornée de motifs floraux, encadrée de pierres finement sculptées de spirales et de feuillages, témoigne du même raffinement décoratif.
50 avenue de Ségur
Une réalisation emblématique de l’architecture parisienne de la fin du XIXᵉ siècle, témoin remarquable du style Art nouveau à Paris.
La façade en brique se distingue par l’élégance de ses motifs géométriques, enrichie de deux bas-reliefs représentant tiges, feuillages et fleurs délicatement sculptés dans la pierre. À l’angle de l’immeuble, le bow-window, habillé de carreaux de grès émaillé réalisés par le céramiste Pierre-Alexandre Bigot, constitue sans doute l’élément le plus spectaculaire de l’édifice.
L’entrée principale prolonge cette inspiration naturaliste : une porte en fer forgé ornée de motifs floraux, encadrée de pierres finement sculptées de spirales et de feuillages, témoigne du même raffinement décoratif.

Immeuble de rapport
Arch. Bastier fils, 1903
Céramiques Alexandre Bigot
78 rue Mademoiselle.
Ce bâtiment fait partie d'un ensemble avec le 76 rue Mademoiselle, partageant des caractéristiques architecturales similaires. Les deux immeubles illustrent l'influence de l'Art nouveau dans le paysage urbain parisien du début du XXᵉ siècle.
Céramiques Alexandre Bigot
78 rue Mademoiselle.
Ce bâtiment fait partie d'un ensemble avec le 76 rue Mademoiselle, partageant des caractéristiques architecturales similaires. Les deux immeubles illustrent l'influence de l'Art nouveau dans le paysage urbain parisien du début du XXᵉ siècle.

Les studios Rive Gauche
Arch. Richard Meier, 1988-1991
Vocabulaire classique de l’architecte américain; blancheur, modularité et plasticité. Panneaux d’acier émaillés blancs.
Vocabulaire classique de l’architecte américain; blancheur, modularité et plasticité. Panneaux d’acier émaillés blancs.

Tour Reflets,
Arch. Henri Bernard, 1976
15-17 rue Robert de Flers
Elle porte bien son nom avec le reflet du Nikko…
Ce gratte-ciel résidentiel situé dans le quartier du Front de Seine s'élève à 98 mètres et comprend 33 étages, avec des appartements en duplex au dernier niveau, totalisant ainsi 34 niveaux. L'architecte a conçu cette tour dans un style moderniste caractéristique de l'époque, intégrant des éléments fonctionnels et esthétiques adaptés à l'environnement urbain parisien.
15-17 rue Robert de Flers
Elle porte bien son nom avec le reflet du Nikko…
Ce gratte-ciel résidentiel situé dans le quartier du Front de Seine s'élève à 98 mètres et comprend 33 étages, avec des appartements en duplex au dernier niveau, totalisant ainsi 34 niveaux. L'architecte a conçu cette tour dans un style moderniste caractéristique de l'époque, intégrant des éléments fonctionnels et esthétiques adaptés à l'environnement urbain parisien.

Novotel Paris Tour Eiffel
Arch. Julien Penven & Jean-Claude Le Bail, 1976
61 quai de Grenelle.
La Tour Nikko, aujourd'hui connue sous le nom de Novotel Paris Tour Eiffel, est un gratte-ciel hôtelier emblématique du quartier Front de Seine. Elle a été conçue pour le compte de la compagnie Japan Airlines .
Elle se distingue par son esthétique moderniste et sa façade rythmée, caractéristiques du renouveau architectural des années 1970 dans le quartier Beaugrenelle
61 quai de Grenelle.
La Tour Nikko, aujourd'hui connue sous le nom de Novotel Paris Tour Eiffel, est un gratte-ciel hôtelier emblématique du quartier Front de Seine. Elle a été conçue pour le compte de la compagnie Japan Airlines .
Elle se distingue par son esthétique moderniste et sa façade rythmée, caractéristiques du renouveau architectural des années 1970 dans le quartier Beaugrenelle

Tour Mirabeau
Arch. Noël Le Maresquier et Pierre-Paul Heckly, 1972
Quai André Citroën.
La tour adopte un plan en tripode, formant un îlot triangulaire délimité par le quai André-Citroën, l'avenue Émile-Zola et la rue de Javel. Ses façades sont composées de panneaux de fonte d’aluminium et de vitrages disposés en quinconce et en pointe, créant un effet visuel changeant selon l'angle de vue. Cette conception confère à l'édifice une apparence scintillante et dynamique.
Quai André Citroën.
La tour adopte un plan en tripode, formant un îlot triangulaire délimité par le quai André-Citroën, l'avenue Émile-Zola et la rue de Javel. Ses façades sont composées de panneaux de fonte d’aluminium et de vitrages disposés en quinconce et en pointe, créant un effet visuel changeant selon l'angle de vue. Cette conception confère à l'édifice une apparence scintillante et dynamique.

YOOMA Urban Lodge Tour Eiffel
Arch. CALQ Architecture, 2017
51-53 quai de Grenelle.
La façade de l'hôtel, conçue par l'artiste Daniel Buren, est ornée de 2 800 m² de panneaux en aluminium et en acier inoxydable, décorés de bandes noires et blanches caractéristiques de son style, ainsi que de touches de bleu « Buren ». Cette intervention artistique confère à l'édifice une identité visuelle forte et contemporaine.
51-53 quai de Grenelle.
La façade de l'hôtel, conçue par l'artiste Daniel Buren, est ornée de 2 800 m² de panneaux en aluminium et en acier inoxydable, décorés de bandes noires et blanches caractéristiques de son style, ainsi que de touches de bleu « Buren ». Cette intervention artistique confère à l'édifice une identité visuelle forte et contemporaine.

Tour Totem
Arch. Michel Andrault & Pierre Parat, 1979
55-59 Quai de Grenelle.
a Tour Totem se distingue par son architecture brutaliste et sa structure innovante. Elle repose sur un noyau central en béton apparent, autour duquel s'organisent des modules de logements en forme d'étoile, groupés par trois niveaux. Cette configuration permet d'optimiser les vues sur la Seine pour chaque appartement. Les façades vitrées et les poutres en porte-à-faux de 14 mètres renforcent l'esthétique audacieuse de l'édifice .
55-59 Quai de Grenelle.
a Tour Totem se distingue par son architecture brutaliste et sa structure innovante. Elle repose sur un noyau central en béton apparent, autour duquel s'organisent des modules de logements en forme d'étoile, groupés par trois niveaux. Cette configuration permet d'optimiser les vues sur la Seine pour chaque appartement. Les façades vitrées et les poutres en porte-à-faux de 14 mètres renforcent l'esthétique audacieuse de l'édifice .

Tour Adagio
Arch. André Laurenti & Jean Peccoux, 1977
14 rue du Théâtre.
La Tour Adagio, officiellement connue sous le nom de Résidence Adagio Paris Centre Tour Eiffel, est un gratte-ciel hôtelier situé dans le quartier du Front de Seine dans le 15ᵉ arrondissement de Paris. Initialement construite en 1977 sous le nom de Flatotel de Beaugrenelle, elle a été renommée Tour Paris Côté Seine avant de devenir la résidence actuelle. Elle mesure 98 mètres de hauteur et compte 32 étages.
La tour présente une architecture typique des années 1970, avec une structure en béton et des façades initialement recouvertes de panneaux de parement. Elle a subi des dommages importants lors de la tempête de décembre 1999, entraînant l'arrachage de nombreux panneaux de façade. La rénovation complète, achevée en 2007, a permis de moderniser l'ensemble du bâtiment tout en respectant son architecture d'origine.
14 rue du Théâtre.
La Tour Adagio, officiellement connue sous le nom de Résidence Adagio Paris Centre Tour Eiffel, est un gratte-ciel hôtelier situé dans le quartier du Front de Seine dans le 15ᵉ arrondissement de Paris. Initialement construite en 1977 sous le nom de Flatotel de Beaugrenelle, elle a été renommée Tour Paris Côté Seine avant de devenir la résidence actuelle. Elle mesure 98 mètres de hauteur et compte 32 étages.
La tour présente une architecture typique des années 1970, avec une structure en béton et des façades initialement recouvertes de panneaux de parement. Elle a subi des dommages importants lors de la tempête de décembre 1999, entraînant l'arrachage de nombreux panneaux de façade. La rénovation complète, achevée en 2007, a permis de moderniser l'ensemble du bâtiment tout en respectant son architecture d'origine.

Tour Seine
Arch. Henri Pottier et Michel Proux, 1970.
39 Quai de Grenelle.
La Tour de Seine présente une architecture moderniste typique des années 1970, avec une structure en béton visible et une silhouette élancée. Elle est intégrée dans le tissu urbain du Front de Seine, un ensemble de tours résidentielles et de bureaux situé au-dessus d'une dalle piétonne, offrant une vue dégagée sur la Seine et la tour Eiffel.
39 Quai de Grenelle.
La Tour de Seine présente une architecture moderniste typique des années 1970, avec une structure en béton visible et une silhouette élancée. Elle est intégrée dans le tissu urbain du Front de Seine, un ensemble de tours résidentielles et de bureaux situé au-dessus d'une dalle piétonne, offrant une vue dégagée sur la Seine et la tour Eiffel.
Paris 15ème
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